• Ce samedi 15 janvier à 20h, venez découvrir Culture Brother, un artiste tibétain faisant rencontrer la musique tibétaine avec des styles très variés tels que le rock, le blues, la techno ou le hip hop.

    En première partie de soirée,vous pourrez écouter un groupe Tibétain jouant de la musique aux rythmes actuels.

    Come this saturday, the 15th, listen Culture Brother, a Tibetan artist who blend Tibetan music with many other styles like rock, blues, techno or hip hop. In opening, a Tibetan Band playing current music.

    Infos complémentaires:
    Entrée/Entrance: 3€ drinks would be available. Des boissons seront disponibles
    lieu: CICP - Métro Rue des boulets / Nation 21ter rue Voltaire Paris, France

     


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  • Traduit de TibetanReview.net, Nov11, 2010 par Etudiants Tibet Libre


    L’ancien ministre de la défense indien – M. Mulayam Singh Yadav – a annoncé au parlement Indien le 9 novembre que la Chine pourrait attaquer l’Inde bientôt et que la menace nécessitait d’être prise au sérieux vis-à -vis de l’invasion de 1962.

    "La Chine étend ses réclamation sur plusieurs de nos états comprenant Arunachal Pradesh, Himachal Pradesh et Uttarkhand sans compter la région de Ladakh….Elle va nous attaquer bientôt… l'attaque peut avoir lieu n'importe quand "
    le chef du partie de Samajwadi (SP) a été cité en tant que dire dans le Lok Sabha, la Chambre du parlement, pendant l'heure zéro.

    L'agence de presse de PTI a indiqué le 9 novembre que la controverse de Yadav a été soutenu par M. en chef Sharad Yadav de Janata dal (unie). Il indique que le chef des SP souhaite que le parlement immédiatement des mesures à prendre.

    Et le rapport a cité M. Pranab Mukherjee de ministre des finances comme disant, " ; Nous discuterons ce problème."

    Le rapport de Yadav est venu étroitement sur les talons de la GEN indienne VK Singh' de chef d'armée ; s remarque que l'Inde n’ était " ; pas sure" ; des intentions de la Chine dans le développement d’infrastructure le long des frontières. Il a noté que tandis que ceux-ci peuvent être bien prévus au profit des personnes locales, comme réclamé, les « intentions changent, (et) avec ces possibilités, choses peuvent aller mal. Et c'est ce qui est une question préoccupante. » Le général avait dit, cependant, qu'une répétition de l'agression de 1962 Chinois était ' ; never' ; possible.


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  • Sur phayul.com
    et tibetan.fr

    Le nouvel An Tibétain 2137, l'année placée sous signe du Tigre de fer est marqué par une manifestation dans la région tibétaine d'Amdo Ngaba.

     

    L'auteur de cet article est de Monsieur Kalsang Rinchen, journaliste à Phayul.com et traduit par Thupten Gyatso de France.

     

     

    Selon une source proche de la Région de Ngawa basée à Mundgod, Karnataka, dans le sud de l'Inde. le 15 février 2010.

     

    Au premier jour de nouvel An, environs 400 Tibétains ont effectué une sitting en signe de protestation et cet acte de résistance tibétaine s'est produit entre les manifestants tibétains et "la force de la sécurité chinoise" dans la Préfecture autonome tibétaine de Ngaba.

     

    Les Tibétains se sont assis au Square du marché principal de la ville Ngaba et ils ont mangé juste de la  Tsampa afin de symboliser ce nouvel An tibétain sous le signe de deuil, d'après l'information fournie par le "Comité de la coordination d'Urgence" de la monastère de Kirti en exil.

     

    Au début, les moines et les civils tibétains ont dit une prière collective et puis ils ont lancé de la Tsampa dans l'air en mémoire des Tibétains tués en 2008, à travers tout le Tibet. Les moines ayant participé à ce rassemblement seraient originaire des deux monastères suivants: de Kirti et de Sey.

     

    Comme la tension allait monter très vite d'un cran, un certain Monsieur Duedul Trulku, chargé des Affaires religieuses de monastère de Kirti serait venu sur le site de manifestation pour demander aux manifestants tibétains de rentrer chez eux afin d'éviter des incidents. Son appel au calme n'a reçu aucun écho. Le soir un peu plus tard, les autorités locales ont demandé aux moines de monastère de Kirti de revenir dans leurs quartiers mais d'autres moines et les civils se sont joint à ces manifestations.   

     

    les soldats chinois ont confisqué des téléphones portables appartenant aux personnes qui auraient filmé ou pris des photos de manifestations. Malgré les restrictions de la sécurité chinoise, la tension commençait à gagner la foule depuis la veille, lors de la cérémonie spéciale consacrée pour la fin de l'année précédente, c'est à dire le 29 février. 

     

    Au moment où cette information est en train de circuler sur internet, l'armée chinoise bloque les routes menant sur le site des manifestations aux personnes venant d'autre régions pour qu'ils ne puissent pas rejoindre les manifestants de Ngaba.

     

    “les Tibétains de la région de Ngaba ont fait comprendre au gouvernement chinois que cette année, ils ne fêteraient pas le nouvel An tibétain, comme c'était des souhaits des autorités chinoises de faire fêter le nouvel An tibétain en grand pompe", mais les Tibétain veulent rendre un hommage aux Tibétains qui ont offert leurs vies pour le Tibet, selon Tenzin Choeying, président de l'antenne indienne "Student for Free Tibet".

     

    Tenzin Tsundue, un activiste tibétain pour l'indépendance du Tibet a dit que la manifestation à Ngaba, " est une démonstration concrète de la résistance tibétaines de l'intérieur du Tibet et c'est une aussi manifestation de la solidarité et du respect aux Tibétains qui ont donnés leurs vies en abandonnant leur demain au profit d'aujourd'hui".

    ÉTUDIANTS POUR UN TIBET LIBRE TIENT A AFFIRMER UNE FOIS DE PLUS SA SOLIDARITÉ AVEC LES TIBÉTAINS "DE L'INTÉRIEUR" QUI BRAVENT L'AUTORITÉ ET LA RÉPRESSION CHINOISE POUR DÉFENDRE LEUR LIBERTÉ ET LEUR CULTURE. NOUS SERONS DANS LA RUE LE 10 MARS POUR SOUTENIR CETTE LUTTE, COMME TOUS LES ANS, EN TENTANT DE NOUS FAIRE ÉCHO DE CE COMBAT AUX COTÉS DES TIBÉTAIN-ES EXILÉS EN FRANCE.

     

    A BAS LA RÉPRESSION !
    ARMÉE CHINOISE HORS DU TIBET !
    VIVE LE TIBET LIBRE ET INDÉPENDANT !
    RANGZEN !


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  • Télérama
     

    Le 13 février 2010 à  9h45               -            Mis à jour le 15 février 2010 à 13h03    

     

    En France, il est interdit d’accrocher les mots “travailler”, “gagner” “plus” et “moins”, sur une façade. Comme a pu le constater, effarée, une jeune artiste chinoise, Siu Lan Ko, censurée alors qu’elle exposait ses slogans sur l’immeuble de l’école des Beaux-Arts, à Paris. C’est une blague ? Non.

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    C'est ironique, quand on est un artiste chinois, d'être censuré en France pour subversion politique. Critiquer Hu Jintao à Pékin, c'est possible. Mais Nicolas Sarkozy à Paris, ça non, c'est interdit. L'artiste Siu Lan Ko, 33 ans, en a fait les frais hier matin. Son installation a été décrochée en toute hâte de la façade des Beaux-Arts de Paris à la demande de son directeur Henry-Claude Cousseau, alors qu'elle était prévue depuis longtemps dans le cadre de l'exposition Week-end de sept jours. L'œuvre a été jugée trop provocante. Attention, âmes sensibles, nous allons en dévoiler le contenu : Siu Lan Ko a écrit (ô sacrilège) les mots « Travailler », « Gagner », « Plus », « Moins », sur de grandes banderoles noires. C'est tout ? Oui, c'est tout. Juste une référence au slogan bien connu du président français. Son projet peut sembler gratuit, or il est en totale cohérence avec sa démarche artistique : Siu Lan Ko travaille sur les slogans, interroge leur sens, les manipule et les détourne…

    On l'avait rencontrée en septembre dernier, à Pékin. Découvrant une jeune artiste prometteuse, performeuse engagée, se recouvrant de sang lors des commémorations de Tian'anmen, faisant voyager dans le monde entier des performances subtiles sur le sort des Tibétains – elle a longtemps travaillé au Tibet pour des ONG. Une jeune femme passionnée par les signes, les idéogrammes chinois, les slogans de propagande. Ce qui est paradoxal, c'est qu'elle expose assez facilement à Pékin, où son talent est reconnu, et son travail globalement toléré par les autorités.

    Mais à Paris, niet. « Le directeur des Beaux-Arts a peur que ça lui cause des ennuis, et que ça nuise au financement public de l'école », explique Siu Lan Ko. Partenaire de l'expo, la commissaire Clare Carolin (du prestigieux Royal College of Art de Londres) est furieuse. « Mon professionnalisme a été insulté », dit-elle (c'est elle qui avait choisi cette artiste). « On m'a dit que le travail de Siu Lan Ko était trop explosif pour rester in situ et que certains membres de l'école et des personnes du ministère de l'Education s'en offusquaient déjà ». Le directeur des Beaux-Arts a proposé de mettre les banderoles à l'intérieur, où elles troubleraient moins l'espace public. Il se justifie comme il peut, explique que Siu Lan Ko est une étudiante (ou plutôt une ancienne étudiante, qui a passé, il est vrai, quelques semestres aux Beaux-Arts de Paris) et qu'il faut encadrer son travail. La blague !

    « Cet incident reflète bien le climat de peur politique dès qu'on touche à Sarkozy en France, et à quel point la liberté d'expression est bafouée dès que des intérêts économiques sont en jeu », constate l'artiste. Venant d'une Chinoise, le coup fait mal. Elle dénonce un geste d'autocensure de la part d'Henry-Claude Cousseau (à sa décharge, il est encore poursuivi pour « diffusion d'images pornographiques de mineurs », à la suite d'une expo organisée en 2000 à Bordeaux sur l'art contemporain et l'enfance, on comprend qu'il soit échaudé). 

    Ebranlée par cette histoire, Siu Lan Ko demande simplement que son œuvre soit raccrochée avant le vernissage de l'expo, samedi, et songe à une action en justice si tel n'est pas le cas.

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    Siu Lan Ko, “Memory of air”

    Siu Lan Ko, 33 ans, est une artiste chinoise incontournable. Ses performances mêlent puissance poétique, force conceptuelle et contestation politique. La voici dans une rue de Hongkong, le 4 juin 2006, traçant dans le vide les chiffres 6/4 (4 juin), date du massacre du Tian'anmen.

     

    Dans Libération , on apprend finalement que "l’œuvre de l’artiste chinoise Ko Siu- lan, 32 ans, détournant le fameux slogan du candidat Sarkozy «Travailler plus pour gagner plus», a été raccrochée, samedi en fin d’après-midi, sur la façade de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts (Paris), sur ordre du ministre de la culture"

     

    CHEZ ÉTUDIANTS POUR UN TIBET LIBRE, NOUS DÉFENDONS LA LIBERTÉ, EN CHINE OU PARTOUT AILLEURS. LA CENSURE DONT A ÉTÉ VICTIME SIU LAN KO EST INACCEPTABLE, MÊME SI ANNULÉE DEPUIS. A PARIS COMME A PÉKIN, NOUS VEILLERONS. QUE LES ARTISTES CHINOIS ENGAGES, QU'ILS SOIENT CONTRE LE RÉGIME CHINOIS OU CRITIQUES FACE A NOTRE GOUVERNEMENT REÇOIVENT NOTRE SOLIDARITÉ.

    DROITS DE L'HOMME ET LIBERTÉ POUR TOUS ET TOUTES !

    ÉTUDIANTS POUR UN TIBET LIBRE-SFT FRANCE.


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  • LE MONDE | 30.01.10 | 13h40

     

    Article paru dans l'édition du 31.01.10

     

    Shanghaï (Chine) Correspondant

     

    Les conflits liés aux expropriations sont en pleine recrudescence en Chine. Pour tenter d'y remédier, un nouveau projet de réglementation a été publié, vendredi 29 janvier, sur le site du bureau des affaires légales du Conseil d'Etat. Les citoyens sont invités à soumettre leurs commentaires par écrit jusqu'au 12 février. Les compensations seront désormais calculées en fonction des "prix du marché". Les résidents ne pourront être expulsés avant la fin des procédures engagées devant la justice. Et la violence et les méthodes dissuasives, comme des coupures d'électricité ou d'eau, ne devront en aucun cas être employées contre eux.

     

    Le temps presse. Le plan de relance chinois, censé empêcher toute déstabilisation sociale, produit l'effet inverse car il faut vite expulser pour lancer les infrastructures inscrites au budget. Les gouvernements locaux, qui tirent en Chine leurs revenus des ventes de terrain, cherchent à profiter de la bulle immobilière, alimentée par l'afflux d'argent frais dans les sociétés d'Etat ou assimilées. La flambée des prix nourrit en retour une anxiété croissante dans la population.

     

    IMMOLATION PAR LE FEU

     

    Cette course infernale fait des victimes. Dans le Guangxi, à Lipu, un homme a été tué par la police le 12 janvier : des villageois opposés à la réquisition de leurs terres s'en étaient pris à un juge qui avait tranché en leur défaveur. Dans le Guangdong, à Yangshan, des batailles rangées entre des habitants résistant à la démolition de leur maison et la police ont fait plusieurs blessés, le 18 janvier.

     

    En novembre 2009, l'acte de désespoir de Tang Fuzhen, une femme de 47 ans qui s'était immolée par le feu sur le toit de sa maison dans la banlieue de Chengdu - les images ont circulé sur Internet - avait ému l'opinion. Elle possédait une maison de trois étages, et y avait installé son entreprise. Les autorités locales souhaitaient construire à cet emplacement une route pour desservir une nouvelle centrale de traitement des eaux. Elles ont refusé de l'indemniser en prétextant l'absence de permis adéquats. Quand l'équipe de démolition a molesté sa soeur et sa nièce, Tang Fuzhen s'est donné la mort.

     

    "En Chine, la notion d'expropriation est entendue comme un droit de recours à la force, au mépris de toute procédure", explique Chen Duanlong, un professeur de la faculté de droit de l'université de Pékin qui a publié avec quatre experts, début décembre, une lettre ouverte pour dénoncer le caractère non constitutionnel de la réglementation. "Pour que dans un rapport d'achat et de vente, le "vendeur" se suicide, c'est qu'il est dans une impasse. Que peut faire un propriétaire chinois mécontent ? Pétitionner ? C'est voué à l'échec. Porter plainte ? Le système judiciaire est contrôlé par le pouvoir qui exproprie. Le résultat est que les gens se tournent vers la violence et les actes extrêmes" poursuit-il.

     

    Pour M. Chen et ses confrères, il est nécessaire de refondre en profondeur la loi, dans la mesure où la notion de "prix du marché", telle qu'elle est spécifiée dans les nouvelles règles, ne vaut que si celui-ci est fixé par une entité indépendante. Selon le juriste, prohiber la violence contre des citoyens ne suffit pas, encore faut-il que ceux-ci disposent de possibilités de recours.

     

    Brice Pedroletti


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